Pour le dernier match retour de la phase régulière, le SCAC (2ème) se déplaçait ce jour sous le soleil revenu chez les voisins de Monpazier (4ème). Pas de match en réserve au programme de ce jour.
C’est le SCAC qui ouvre le score dès le tout début de la première mi-temps par un beau mouvement avants-trois quarts, qui propulse Cyril Peyrou dans l’en-but. Essai transformé par Greg Cuevas (9ème 0-7). Carton blanc pour le SCAC et Monpazier à son tour en profite pour percer la défense cypriote et assurer un très bel essai des lignes arrières (19ème 7-7). Monpazier se met ensuite deux fois à la faute et Greg concrétise deux pénalités, le SCAC mène à la mi temps (7-13).
Dès le tout début de la deuxième mi-temps Monpazier pousse et le SCAC n’est pas bien en place, pénalité pour Monpazier (43ème 10-13). Réplique du SCAC par une pénalité complémentaire (54ème 10-16). Le SCAC semble pouvoir arriver à franchir une nouvelle phase active mais quelques touches ne sont bien assurées et c’est Monpazier qui se retrouve sur les 22 adverses avec une pénalité non réussie. De beaux mouvements de part et d’autre n’arrivent pas au but et le SCAC reprend malgré tout un peu d’air et bénéficie d’une pénalité qui ne passe pas. Il reste un quart d’heure, le SCAC pense tenir et se trouve même en position de concrétiser. Mais quelques maladresses et Monpazier en profite pour s’approcher à son tour des lignes cypriotes. Le SCAC défend, mais craque à la dernière minute et concède un essai entre les poteaux. Avec la transformation c’est juste assez pour coiffer les visiteurs sur le fil ! Score final 17-16.
Le SCAC termine donc à la 2ème place de cette phase qualificative de la saison 2021/2022. Il rencontrera maintenant les voisins daglanais le 17 avril au Lardin pour le titre de champion de Dordogne en Régionale 1.
Puis en quart de finale de ligue Nouvelle Aquitaine, le SCAC ira défier les bordelais du Bouscat. Enfin pour poursuivre cette belle saison, les sang et or sont qualifiés pour le championnat de France.
Quelques phases du match (photos J.C. Avezou)